Les transports - Il est interdit car la réserve d'essence est utilisée pour alimenter le groupe électrogène. Les bus ne circulent plus pour la même raison. Le service de vélos de la ville a été rendu gratuit : pour en bénéficier il faut s’enregistrer à la mairie pour obtenir un pass Vél'eau qui permet de louer un vélo gratuitement. Obligation de prendre le vélo à une borne et de le redéposer à une autre borne une fois le trajet fini.
L'électricité - La ville se fournit sur le groupe électrogène de secours depuis les coupures dues aux inondations. Par conséquent certaines zones de la ville ne sont plus alimentée car jugée non prioritaire et il est demandé de limiter sa consommation de manière générale. Lorsque la nuit tombe, la ville n'allume plus les lumières des rues et des commerces (seuls ceux ayant besoin d'électricité pour la conservation d'aliments frais sont alimentés en continu).
Certains particuliers sont néanmoins mieux lotis car ils bénéficient de l'électricité fournis par la production des panneaux solaires. Si la ville ne les a pas encore réquisitionné, le sujet est en cours de débat à la mairie.
La nourriture - L'hypermarché de la ville est devenu une zone de stockage alimentaire. Si la nourriture déjà possédée par les habitants n'a pas été réquisitionné, dès les premiers signes d'isolement, le maire à fait contrôler l'accès à l'hypermarché. À présent, pour remplir ses placards, il faut aller à la mairie chercher des tickets de ration à dépenser à l'accueil de l'hypermarché. Une majeur partie de la police municipale a été mobilisée pour s'assurer qu'il n'y ait pas de vol, d'abus ou de débordement à l'hypermarché.
La boisson - L'eau de la ville est encore potable et il est possible de dépenser des tickets de rations à l'hypermarché. Ceux qui en possèdent sont principalement les femmes enceintes, les familles avec des enfants en bas âge et les personnes âgé. Pour l'alcool et les autres boissons sucrée, cela fonctionne aussi avec les tickets de rations. D'ailleurs il est possible d'en dépenser au dernier bar ouvert en ville qui survit grâce à cela.
La délinquance - Le taux de délinquance à Horla-sur-eau est bas. La plus part sont des délits mineurs, même si on peut déplorer quelques cas de violence conjugale. Cependant le maire craint une augmentation de ce chiffre avec l'isolement. Il fait donc tout son possible pour limiter les émeutes et les comportements violents. La police municipale est donc mobilisée h24. Le maire se pose la question d'une milice citoyenne pour compléter les effectifs afin de sanctionner ceux qui abuseraient des ressources.
Le travail - Le maire incite les habitants à continuer leur travail. Certaines fonctions ne sont malheureusement plus praticables, de ce fait, ces travailleurs sont mobilisés sur d'autre besoin de la ville. Ainsi il ne sera pas surprenant de trouver un conducteur de bus au poste de la distribution des tickets de rations. Les travailleurs de l'hypermarché y travaillent toujours, mais la plus part s'occupe à présent d'aller chercher les produits demandés, après échange des tickets à l'accueil.
Le tourisme - Horla-sur-eau n'est pas une ville très touristique. L'été quelques vacanciers qui cherchent le calme et la nature vienne parfois s'y perdre, mais ils sont plutôt rares. Cependant, dû à sa position dans les montagnes, elle est un passage fréquent pour les randonneurs (du printemps à l'automne), que ce soit en étape de départ, d'arrivée ou intermédiaire.
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